Une Touche d'Optimisme

Se lever avec le chant du coq,

Se reconnecter à la nature,

Se dire que l’on vit une drôle d’époque

Et partir gaiement à l’aventure.

Passer de village en village,

Entendre le rire des enfants,

Se dire que les hommes ne sont plus très sages

Et espérer un meilleur printemps.

Partir, s’ouvrir à l’inconnu,

Oh oui, partir, battre le pavé des rues.

Partir, sourire aux inconnus,

Oh oui, partir, partir !

Tomber en amour pour une femme,

L’emmener avec nous sur les sentiers,

Se dire que c’est fou tant de joie à l’âme

Quand on a enfin trouvé sa moitié.

Essayer d’être quelqu’un de bien,

Être toujours là pour son prochain,

Se dire que la colère ne résoudra rien

Et pardonner à tous les crétins.

Partir, s’ouvrir à l’inconnu,

Oh oui, partir, battre le pavé des rues.

Partir, sourire aux inconnus,

Oh oui, partir, partir !

Se poser des questions légitimes :

« Ai-je vraiment fait tous les bons choix ? »

Se pardonner, être magnanime,

Prendre ceux que l’on aime dans ses bras.

Vieillir sans jamais perdre courage,

Entendre le rire des enfants,

Se dire que les hommes ne sont pas plus sages,

Profiter de ses derniers printemps.

Partir, s’ouvrir à l’inconnu,

Oh oui, partir, battre le pavé des rues.

Partir, sourire aux inconnus,

Oh oui, partir, partir !

Arriver au bout du chemin,

S’interroger sur le sens de sa vie,

Se dire que final’ment, c’était vraiment bien

Et s’endormir pour une longue nuit.

Partir, s’ouvrir à l’inconnu,

Oh oui, partir, battre le pavé des rues.

Partir, sourire aux inconnus,

Oh oui, partir, partir !

Partir, s’ouvrir à l’inconnu,

Oh oui, partir, battre le pavé des rues.

Partir, sourire aux inconnus,

Oh oui, partir, partir !